Armadillidium vulgare peut atteindre une longueur de 18 mm, et est capable de se rouler en boule (volvation) lorsqu’il est perturbé.
Le cloporte est capable de résister à des conditions relativement sèches et est restreint aux sols calcaires et aux zones côtières. Il se nourrit principalement de matières en décomposition, mais aussi d’herbes, de lichens et d’algues issus de troncs d’arbre ou de murs.
Bien qu’il soit capable de réguler sa température, il préfère la lumière du soleil lorsque la température est basse et reste à l’ombre lorsque celle-ci est élevée ; des températures en dessous de −2 °C ou au-dessus de 36 °C lui sont létales. A. vulgare est moins sensible au froid durant la nuit et peut entrer en dormance durant l’hiver afin de survivre aux températures qui pourraient lui être fatales.
De nombreux prédateurs ont été identifiés : plusieurs vertébrés tels que des mammifères (souris, musaraignes, hérissons), des oiseaux, des reptiles (geckos, orvets) et des grenouilles et crapauds se nourrissent entre autres de cloportes communs. D’autres invertébrés comme les carabes et des araignées en font également leur proie.
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